Le 15 mars 2024, le master 2 Droit des libertés procédait aux plaidoiries de son épreuve de Moot Court.
Le Moot Court est une simulation pratique, construite autour d’un jeu de rôle. Les étudiants du master 2 sont répartis par équipes, chaque équipe défendant des intérêts propres (les autorités publiques, le Ministère public, la famille X ou le couple Y, par exemple). A partir d’un cas qui leur est distribué le lundi matin et évoluera tout au long de la semaine, les étudiants doivent initier les actions en justice et opposer leurs défenses, d’abord à l’écrit, puis lors de plaidoiries programmées le vendredi après-midi.
Ce vendredi 15 mars, le Tribunal à la Faculté a donc hébergé (fictivement) le Tribunal administratif de Caen, le Tribunal correctionnel et même le Juge aux affaires familiales. Les affaires, très variées et qui étaient toutes liées à un cas fictif se déroulant dans un EHPAD, étaient relatives à des faits de maltraitance et des privations de liberté, mais aussi à du travail dissimulé, un étranger dénué de titre de séjour, des violences conjugales, de la responsabilité administrative pour faute de service et pour faute personnelle, des violences volontaires, etc.